De la spectaculaire boucle de Monthermé, à travers les légendes des 4 fils Aymon ou celle des Dames de Meuse, au magnifique panorama depuis La Roche à 7 Heures et la Longue Roche, … le territoire des vallées et plateaux d’Ardennes rassemble quelques uns des plus beaux joyaux des Ardennes Française. Le Roc La Tour, étonnant chaos de rochers qui offre un point de vue exceptionnel sur l’immensité des crêtes boisées de l’Ardenne. « Selon la légende, un seigneur désargenté qui, pour plaire à sa belle et lui offrir une demeure digne de sa splendeur, aurait vendu son âme au diable en échange de … ». je vous propose de découvrir la suite de la légende sur place et d’y passer un week-end en profitant des séduisants méandres de la Semoy.  Christophe nous a conté la suite avec la boussole quand Bernadette nous le montre en images :-)

Puisque l’hiver le jour est si court et la nuit si longue, pourquoi ne pas en profiter ? Marcher dans la nuit procure toujours d’inhabituelles sensations. Quand nos yeux n’y voient plus guère, ce sont tous les autres sens qui prennent la relève. Très vite, ils s’aiguisent et nous envoient leurs stimuli ; nous devenons autrement réceptifs. Pour y parvenir, il nous faudra éviter autant que possible de recourir à nos frontales même si l’idée de ressembler à un chapelet de lucioles gravissant « tiges » ou « tiennes » peut paraître séduisante… La pleine lune est invitée spécialement ce soir-là. Elle nous aidera à appréhender la nuit, si un ciel dégagé le permet bien sûr. Souhaitons-nous un ciel dégagé et, pourquoi pas, un premier assaut hivernal. Nous réchaufferons tout cela d’une vigoureuse foulée puis d’une collation partagée autour d’un bon feu, dans la salle commune de notre ferme désormais restaurée. Georgy au guidage et Rosamar aux images :-)

Le Mullerthal - La petite Suisse Luxembourgeoise - est une région du Grand-Duché du Luxembourg qui doit son appellation à son paysage vallonné rappelant certaines régions de Suisse. C’est aussi un massif forestier exemplaire sur sa biodiversité où les feuillus dominent toutes les autres essences. Un autre attrait de cette belle région est la particularité de ses roches qui en font un joyau pour la randonnée. Ce n’est pas un hasard si certaines randonnées sont reprises dans le célèbre livre Lonely Planet : les plus belles randonnées au monde. J’ai choisi le mois de novembre pour cette découverte nature. Novembre étant un mois de transition, de contraste entre la belle saison et les hivers rigoureux de nos massifs ardennais. Ce sera également la pleine saison des champignons des bois. L’occasion pour nous de les identifier, d’apprendre à reconnaître les grandes familles, voire de les déguster dans nos assiettes après nos longues et belles journées de randonnées. Un autre avantage non négligeable de randonner à cette période dans le Mullerthal est l’absence de chasses. Ici, contrairement à nos Ardennes, l’accès à la forêt est libre, sans restriction d’emprunter les chemins forestiers. Pour ce triptyque dans le Mullerthal, notre village hôte et d’hébergement sera Berdorf, idéalement positionnée par rapport aux différentes randonnées programmées. Berdorf est un village situé au-dessus de la vallée de la Sûre, rivière faisant frontière avec l’Allemagne, à 6 km seulement de la plus ancienne ville du pays : Echternach. Echternach est aussi connue pour ses festivals de musique, sa procession dansante et son somptueux lac. J’ai sélectionné un hôtel confortable pour ce long week-end, avec un logement en chambre de deux personnes. Terrasses et bar agrémenteront nos deux longues soirées ! Possibilité le soir d’aller flâner dans la ville d’Echternach, 10 minutes en voiture. Photos de Bernadette Rando de Philippe

Une grande classique, une rando ardennaise telle qu’on la conçoit le mieux ! Les effluves de résine, l’odeur des feuilles jaunissantes, la sylve qui respire... sont une véritable addiction pour les «coureurs des bois». Ici, les arbres règnent en maîtres et les hommes en tirent encore d’abondantes ressources. L’eau y est omniprésente et s’adonne au relief tandis qu’entre le « gagnage » et la « remise », le gibier se fond pour garder sa quiétude. En cette période de chasse, il est d’ailleurs particulièrement discret... La promenade que je vous propose permet de parcourir de vastes forêts aux essences variées qui peuplent généreusement les versants de la Lhomme. Le tumulte de cette sauvageonne lui donnera toute sa sonorité. Faisons-lui l’honneur de nos foulées débonnaires mais aguerries et de nos solides jarrets. Ô Arduinna ! Avec Georgy qui a essayé de nous perdre mais n'a pas réussi et Thierry Gridlet, Rosamar qui nous ont gratifié de ces beaux souvenirs :-)

Pour cet automne 2018, voici une nouvelle destination entre mer, vigne, olives et chemins escarpés – Les Cinq Terres ou Cinque terre en italien. Les cinq terres, c’est cinq magnifiques petits villages colorés qui ont les pieds dans l’eau et le dos adossé aux parois rocheuses où vignes et olives débordent du balcon. Chaque village a son port de pêcheurs, calfeutré dans de charmantes criques. Les voici ces cinq villages : Monterosso, Manarola, Corniglia, Vernazza et Riomaggiore. Nous sommes en Terre de Ligurie, située au nord-ouest de l’Italie, au sud de la ville de Gênes et bordant la très célèbre Toscane. Région considérée comme une des plus belles d’Italie. Ici, contrairement à d’autres côtes maritimes, le relief est escarpé avec des pentes abruptes dévalant jusqu’à la mer. Les habitants ont su exploiter les terrains des collines grâce à la construction de terrains cultivés à «étagement», bâtis en gradins avec des murs de pierres sèches. Idéalement lové par le soleil, le raisin y est cultivé afin de donner d’extraordinaires vins dont le Sciacchetrà, un vin liquoreux, recommandé pour le dessert. Une autre production importante de ces cultures en terrasses est l’huile d’olive, en provenance de ces oliviers centenaires qui recouvrent les collines. La récolte de ces olives se fait durant le mois d’octobre, avec un peu de chance nous pourrons observer ces cueillettes qui se font à l’aide de filets. Parlons maintenant de randonnée. J’ai choisi une charmante petite station balnéaire, au calme, loin de la cohue touristique pour vous faire découvrir cette côte où les habitants ont une vie calme, cette petite ville se nomme Levanto. Nos 6 jours de randonnées se feront en étoile, tout en empruntant le train pour nous rendre aux différents points de départs, mais pas tous les jours. Je rassure, notre hôtel se situe à 200 mètres de la gare avec une facilité déconcertante pour circuler rapidement, sans perte de temps entre les différents itinéraires programmés. Les six journées de randonnées nous feront découvrir l’ensemble du terroir de cette si attrayante région des Cinque Terre. J’ai sélectionné pour vous un hôtel 3 étoiles, familial géré depuis toujours par une seule et même famille. Chambres de deux personnes, le tout dans une bâtisse décorée dans une atmosphère du 19° siècle. Parking privatif et jardin fleuri. L’ensemble situé à une centaine de mètres de la mer et à 200 mètres de la gare ferroviaire. C’est de cette gare que nous prendrons le train pour nous rendre à certains départs de nos randonnées. Philippe avait des bottines et Bernadette et Christian de la pellicule :-)

Parcours et paysages choisis dans ce splendide pays dont le nom aurait été donné par Jules César qui lors de sa conquête de la Gaule, traversa cette région creusée par sept cours d’eau, l’Allier, le Lot, le Tarn, le Gardon, l’Hérault, La Cèze et l’Ardèche. Il le baptisa donc le pays des « sept veines » qui donna par déformation les CEVENNES Je vous propose cette année 6 parcours dans les régions les plus représentatives de ces magnifiques Cévennes. Pour bien profiter de ces espaces, si cela est possible, grâce aux transferts par navettes, certains jours nous ne porterons que les petits sacs. Nous retrouverons bien entendu, le subtil mélange des paysages Cévenols, aux croupes rondes et herbeuses, aux véritables maquis de hautes bruyères et de genêts, mais aussi «mes préférés» les grands espaces désertiques essentiellement réservés au pâturage et aux randonneurs épris d’horizons. Nous randonnerons au long des «drailles», par où transhumaient les troupeaux de moutons, aux faîtes des cols et des corniches, sur les plateaux mais aussi dans ces vallées étroites parmi les mas et les fermes, jadis regroupés en hameaux. Que dire de cette période de fin septembre, sinon que c’est celle des couleurs, de la lumière, des châtaignes, des figues fraîches et d’un climat je l’espère en dehors des «épisodes cévenols». C’est aussi le charme des sentiers calmes, des gîtes peu encombrés et de l’accueil chaleureux des hôtes cévenols. Ce très beau séjour n'est bien évidemment uniquement possible qu'avec notre Francis et Christian Lefebvre pour en attester en images :-)

Cette année très grands coefficients (111). Spectacle naturel inoubliable. Après avoir parcouru les côtes de Texel, des caps Gris Nez et Blanc Nez et de la Baie de Somme, poursuivons notre découverte du littoral de la Mer du Nord et de la Manche pour rejoindre plus au sud encore, la Baie du Mont-Saint-Michel… Ce site, reconnu comme Patrimoine mondial, est classé par L’UNESCO pour l’immensité de son Estran, l’ampleur de ses marées, la richesse de ses milieux naturels et la présence du Mont-Saint-Michel, haut lieu de pèlerinage et d’architecture. Ce séjour nous permettra de parcourir l’immensité de la baie, entre terre et mer, ciel et eau ! Les paysages y sont aussi variés qu’insolites : herbus, polders, falaises, rivières, dunes, marais, ports et pêcheries sur fond de sables retravaillés d’heure en heure par des marées classées parmi les plus puissantes du monde. C’est une chance : la date de notre séjour correspond à une période de vives eaux (coéf. de 111 soit un des plus grands coefficients de l’année c’est à dire que la hauteur d’eau entre pleine et basse mer atteint jusque 13 ,30 mètres de hauteur.) Le soir, exceptionnellement, la marée nous fera le grand jeu. Dans un grondement d’enfer, nous assisterons à l’étonnante remontée du « Mascaret » : cette barre d’eau, qui peut atteindre 1 mètre de haut, déferle comme une onde puissante et régulière et le Mont se transforme alors pour moins d’une heure en une véritable île… La Baie du Mont-Saint-Michel est l’endroit idéal pour observer et expliquer le phénomène des marées. Grâce à sa nourriture abondante et la diversité des milieux, elle attire aussi en son sein des milliers d’oiseaux et donc, votre guide pourra à nouveau vous faire partager sa passion pour l’ornithologie. Pour continuer dans le spectaculaire, la mer se retire sur plus de 20 Km de la côte et libère ainsi 21 000 hectares de sables. Programme : 2. jours de rando côté Normandie pour approcher la baie dans toute sa splendeur. Au départ de Saint-Jean le Thomas, surnommé le « petit Nice » de la Manche pour la douceur du climat, nous nous enfoncerons dans la campagne normande pour ensuite rejoindre la côte. Parcours le long des falaises de Champeaux, réputé comme les plus beaux kilomètres de France : nombreux promontoires de plus de 70 mètres et panorama exceptionnel sur le Mont St Michel et les côtes bretonnes. 1. jour consacré à la traversée de la Baie et la découverte du Mont St Michel. Rando encadrée par un guide agréé « guide de la Baie » réservé uniquement pour notre groupe (sécurité et quiétude oblige). Arrivée au Mont St Michel à mi-journée, à contre-courant des hordes de touriste. Découverte du site dans toute sa sérénité, le calme revenu et au soleil couchant. Perché en haut du Mont, nous sommes en première classe pour le début du spectacle : très grande marée coéf 111, clap « première », c’est parti ! Repas du soir au Mont-Saint-Michel. Une soirée consacrée à l’observation de la grande marée et l’arrivée du mascaret (lame d’eau). Spectacle naturel inoubliable. Fin du séjour vers 10h. Journée libre. Les plus grandes marées d’Europe au Mont Saint-Michel : Les marées sont dues à l’action des astres, principalement la lune et le soleil. Lorsqu’ils sont alignés avec la terre (astres en syzygie), les attractions s’ajoutent, on est en vives eaux, cela correspond aux périodes de fortes marées ; au contraire si les astres forment un angle droit (astres en quadrature) les attractions s’atténuent, on est en mortes eaux, cela correspond aux périodes de faibles marées. Merci à Jean-Jacques Mundchau pour les photos et à JP pour nous avoir rendu tout cela possible !

Le numéro 10 de la cour des grands, labellisé en 2012 Grand Site de France, classée parmi les plus belles baies du monde. Le Grand Site en quelques chiffres : Géographie - 72 km de côtes, dont 15% seulement d’urbanisés - 70 km² d’estuaire - 5 stations balnéaires : Ault Onival, Cayeux sur Mer, Le Crotoy, Quend Plage, Fort-Mahon Plage - 3 ports : Le Hourdel, Saint Valery sur Somme, Le Crotoy Les Labels - Grand Site de France® - Club des plus belles baies du monde - Site Ramsar 20 000 ha (site protégé) - 2 sites classés sur les monuments naturels et les sites : Hourdel / Cap Hornu et Marquenterre Après avoir parcouru les côtes de Texel, des caps Gris Nez et Blanc Nez, poursuivons notre découverte des côtes de la Mer du Nord et de la Manche. Légèrement plus au sud, le littoral contrasté de la côte Picarde est échancré en son milieu par une baie merveilleuse, classée parmi les trente plus belles baies du monde et reconnue internationalement pour sa richesse écologique : la Baie de Somme. La Somme, c’est une longue histoire d’amour avec la nature et l’oiseau. Classée Grand Site de France, la Baie de Somme (fin du parcours du fleuve du même nom) s’étend entre la pointe du Hourdel au sud et la pointe de Saint-Quentin au nord (site classé). Cette baie séduit par ses espaces vierges et son calme, ses lumières ou sa brume, ses milliers d’oiseaux et sa flore (plantes comestibles : salicorne, l’obiome, oreilles de cochon…). Ses paysages varient au gré et à l’amplitude des marées. Tantôt une vaste étendue d’eau pénètre la terre sur près de 20 km; tantôt, c’est une mosaïque de sable, de «mollières» où paissent les moutons et de «vasières» où se plaisent les oiseaux limicoles. Si elle est attirante, la baie est aussi dangereuse et il est imprudent de si aventurer seul. Accompagné d’un guide nature local, nous irons au fil des marées à la découverte de la baie entre St-Valéry, cité médiévale, et Le Crotoy, charmant petit port de pêche. Carrefour migratoire important, ce sera aussi l’occasion d’observer et de reconnaître oies cendrées, canards pilets, huitriers pies, chevaliers gambettes. Et… peut être, plus au large, pourrons-nous surprendre quelques-uns de ces phoques qui ont colonisé la baie et flirtent avec le courant des marées (+ de 350 veaux marins et phoques gris en 2017, la plus grande colonie de France.) Autour de la baie, c’est aussi une «Somme» de biotopes différents qui défilent sous nos pas, des sentiers sablonneux des dunes du Marquenterre aux galets bleus des plages de Cayeux, aux falaises de craie d’Ault et de Mers-les-Bains, cité balnéaire aux magnifiques villas classées.. Pour info, sur internet Le Grand Site Baie de Somme, avec ses paysages exceptionnels www.grandsitebaiedesomme.fr/ a voir grand site en vidéo. Guidage par JP et reportage par Daniel Barzin, Claire de Halleux et Didier Malbert.

Une bouffée d’oxygène pendant 4 jours dans le parc naturel du Haut- Jura. Armons-nous de bonnes chaussures et partons à l’assaut des crêtes mais pas que… car le Jura c’est aussi des phénomènes karstiques: la surface calcaire striée de brèches et fissures devient perméable, renforçant le réseau d’eau souterrain. En surface, témoins des tumultes tectoniques survenus jusqu’à la fin du Tertiaire et sous l’incessante pression des cours d’eau souterrains et visibles, les combes, rides, voûtes, failles, plateaux à corniches, reculées, gouffres, plissements, anticlinaux, pics ou gorges… autant de beautés à admirer ! Nous logerons au même refuge à 1217 m d’altitude, sur la frontière franco-suisse. Un refuge, c’est quoi ? Ce n’est pas un hôtel tout confort, c’est un bâtiment situé en montagne et destiné à fournir abri et nourriture aux alpinistes et randonneurs. Le couchage est fourni le plus souvent dans des dortoirs communs. Traditionnellement d’un confort rustique (couchage et sanitaires), les refuges tendent à se « moderniser » au grand dam de certains pratiquants de la montagne, comme moi, qui trouvent que les refuges perdent alors leur âme. Nathalie avait la boussole et Colette de la pellicule :-)

«Ce vieux pays où pendant plus de 1000 ans a battu le coeur de la France», Gérard de Nerval 1 jour en vélo, 2 jours à pied avec visite des châteaux de Compiègne et de Pierrefonds. Randonneur, passionné de nature, de patrimoine et d’histoire, ce séjour est fait pour vous. Ici, c’est la grande histoire de France qui se déroule sous nos pieds. Le nom de Valois rime en effet avec celui de Rois. Il évoque le souvenir des treize princes issus de la maison des Valois qui ont gouverné la France durant plus de deux cent ans, de Philippe VI roi en 1328 à Henri III qui meurt en 1589! Ancienne capitale du duché de Valois, la ville de Crépy-en-Valois en partie ceinte de remparts, est fière de son riche passé historique et de ses rues anciennes bordées d’hôtels particuliers. Pas très loin, les châteaux de Chantilly et de Compiègne furent d’imposantes résidences royales de la cour. Tout autour, l’imposante forêt de Compiègne avec ses 15.000 hectares est également chargée d’histoire puisque c’est là, au coeur d’une clairière et dans un wagon, que fut signée le 11 novembre 1918 à 5h15 du matin l’armistice mettant fin à la guerre 1914-1918. Randonner au pays de Valois, c’est plonger dans la France d’antan, tant les villes et villages traversés nous rappellent la douce France, avec ses petites places, ses maisons de pierre, ses artisans et ses belles églises rurales. C’est aussi découvrir en compagnie de mon ami Thierry, originaire de cette région et guide-nature et ornithologue français passionné, d’imposants massifs forestiers et nombre de sites protégés pour la qualité de la faune et de la flore. Après un premier séjour en 2014, j’ai découvert que la forêt de Compiègne est traversée par de nombreuses pistes cyclables au profil plat et facile. Aussi, afin d’aller encore plus loin dans la découverte de cette région, j’ai opté cette année pour une journée à vélo. Notre lieu de séjour sera le bourg romantique de Pierrefonds, dominé par son imposant château, et où la petite place, avec sa mairie, son boucher, son boulanger et son bar-tabac nous rappelle les films d’époque de Bourvil ou de De Funès ! Programme du séjour Vendredi : Visite du Palais de Compiègne, demeure Royale et Impériale en lisière de forêt avec parcs et jardins. Perspective de 4 km sur l’allée des Beaux-Monts qui constituait un point de départ pour la chasse à courre à travers l’une des plus belles forêts de France (petite rando dans les parcs) Après-midi, Visite du Château de Pierrefonds, construit au 15ème siècle. Pierrefonds est une géniale interprétation du Moyen Age et de la Renaissance par l’architecte Viollet-le-Duc. (petite rando dans les parcs) Samedi : randonnée à vélo, en boucle au départ de Pierrefonds. Découverte de la Forêt de Compiègne et traversée de plusieurs villages typiques. Arrêt au Carrefour de l’Armistice. Dimanche : randonnée à pied au départ de Crépy-en-Valois, ville médiévale, capitale du Valois. Visite de la vieille ville, à la découverte des façades ouvragées de demeures anciennes. Merci à JP et à Bernadette Chenut.

La « zenattitude », tendance ou réel besoin ? Et la zenattitude en montagne c’est quoi ? C’est un groupe de randonneurs motivés et dociles : « ce premier jour sera une mise en jambe ! » « Ah bon ? 800m de dénivelée positive, névés à traverser… et elle appelle ça une mise en jambe ?? » Ils sont vraiment motivés. 2e jour : « Après le déjeuner, nous réveillerons notre corps ! ». « Qu’est-ce qu’elle dit la guide ?? ». Ils sont dociles, ils s’appliquent dans l’auto-massage et ça leur fait du bien. 8e jour : méthode Dr. Kneipp, mettre ses pieds dans l’eau d’un lac glaciaire… ça fait mal quand on sort, mais on recommence… 3, 5 ou 7 fois. Motivés et dociles ! La zenattitude en montagne, c’est aussi s’arrêter et admirer les miracles de la nature : les couleurs florales, la naissance des libellules, les changements de couleur sur un lac d’altitude… et aussi faire la sieste après le sandwich montagnard (avec ou sans jambon ? clin d’œil pour B.). C’est aussi un peu d’écologie, faire prendre conscience de notre impact en montagne : les sentiers élargis, l’érosion, les déchets abandonnés, les insectes écrasés par nos bottines… Et puis, c’est accepté que la Belgique ait perdu au football ! Imaginez : nous sommes dans un refuge italien à 1732m d’altitude, le wi-fi passe (hé oui, nos exigences modernes…), ça fait 2 jours que nous cherchons LA solution pour visionner le match. Redescendre en vallée ?? Ok mais il faudra remonter à pied... 2 heures de marche... dans le noir… après 22h… Mais oui bien sûr, se connecter sur Auvio avec un smartphone ! Ah zut, il faut s’inscrire… hop compte créé… et puis « vous allez recevoir un sms avec un code d’accès ». Super… ah non, re-zut, pas de réseau de gsm, pas possible d’avoir ce code… grrrrr. Ouf, un autre belge est au refuge, pareil que nous, il cherche la solution… tout affairé il est connecté sur son pc, crée son compte Auvio (merci la RTBF), appelle sa femme en Belgique qui va recevoir LE code d’accès (vive les femmes)… et puis… magie de notre gardien de refuge : grand écran, projecteur, haut-parleurs… et la brabançonne retentit ! « Allez, nous dit une allemande, montrez votre patriotisme les Belges ! ». Et voilà comment, bien malgré moi, anti-fan de foot, je me retrouve debout presque la main sur le cœur pour ce coup d’envoi du match Belgique-France au mondial 2018 dans un refuge de montagne. Historique, diront certains ! A tout point de vue ! Et surtout il y a le sommet, notre Everest à nous ce jour-là : le Mont Thabor, 3178m ! Jouable, pour ceux qui en doutaient, au rythme du pas du montagnard. Même pas une goutte de sueur sur le front ! Pas une goutte tout court, que du grand bleu dans le ciel. Autour de nous, des sommets et encore des sommets… et le calme. Zen, restons zen, surtout en montagne ! Bien sûr le groupe et moi remercions le soleil de nous avoir accompagnés ces 8 jours de randonnées, sans lui, la zenattitude aurait pris une toute autre allure ! Pour la beauté des paysages, voyez les photos, elles donnent un bon résumé de notre séjour, merci à notre photographe. Ciao ! PS. pour le sujet « zenattitude et les nuits en refuge en dortoir, que du bonheur » rendez-vous au prochain séjour ;-)) Nathalie et Bernadette avaient des bottines mais seulement une l'appareil photo et l'autre la boussole ... je vous laisse deviner :-)

Montagne à taille humaine, une des plus belle vallée de Haute-Savoie. Dans la vallée d’Abondance chemins et sentiers vous invitent à la visite des alpages ou pâturent les troupeaux durant l’été. Chaque randonnée est un plaisir des yeux et offrent des panoramas inoubliables sur les principaux sommets Mont de Grange, Cornettes de Bises, Mont chauffé et lacs de montagne. Tout au long de la journée en poursuivant votre chemin vous pourrez admirer aussi le Mont-blanc et son manteau neigeux, les Alpes valaisannes (Suisse) et bien sur le Lac Léman. Et pourquoi pas l’ascension d’un sommet des environs… Fromage d’abondance… Nombreux chalets d’alpage … Le val d’Abondance possède un patrimoine environnemental et culturel important, notamment en lien avec l’installation de l’abbaye. Excellente Cuisine traditionnelle servi dans notre logement. Chalet Typique de la vallée. Un grand merci Christophe :-)

A la croisée de trois départements, la Lozère, l’Aveyron et le Cantal, sur ce haut plateau d’une altitude moyenne de 1200 m., résultat de l’empilement des coulées basaltiques, nous parcourrons cet espace parfois lunaire parsemé de «puechs» (du latin podium : hauteur, éminence) et de lacs, troué de blocs erratiques (les bols) et sillonné de nombreux murets de pierres sèches qui délimitaient les anciennes drailles ou de vieilles limites de parcelles. Mais au-delà de 1100 m, plus de de maisons, on atteint le royaume de la blonde vache Aubrac, l’étage des estives où se perdent les «burons» ces petite bâtisses où jadis les éleveurs faisaient le fromage. L’Aubrac souvent appelé «désert vert» est aussi une région qui peut resplendir des couleurs de ses narcisses et autres jonquilles, cueillis pour les parfumeurs de Grasse. L’eau est aussi partout présente, divaguant au milieu des prairies, canalisée par des gorges, retenue dans des tourbières ou encore jaillissant des entrailles de la terre avec des propriétés, selon les anciens, quasi miraculeuses. Sur toutes les zones de pentes, c’est la forêt qui domine et qui a évolué au cours de son histoire vers une forêt de hêtres et de sapins pectinés mais qui ne dédaigne pas le merisier, le chêne, l’érable et l’aulne. Je pense que face à tous ces paysages les mots qui nous viendront certainement à l’esprit sont : espaces, liberté, identité et vie sauvage. Merci Francis et Jackie Depireux

Lors de mes récents séjours en Crète, je suis tombé sous le charme : ah quel bonheur de parcourir ces sentiers sauvages qui sentent bon le thym et la sauge dans des paysages grandioses où la mer, les criques et la montagne ne sont jamais loin ! La crise grecque de ce début juillet 2015 m’a enfin décidé à mettre la Crète au programme ! Dans un esprit de solidarité sans doute mais aussi avec la volonté de partager au plus près, la culture, les traditions et l’hospitalité de ses habitants. Raison pour laquelle j’ai aussi choisi de travailler avec Anne, qui a sa propre agence de randonnées. Guide nature, elle nous accompagnera et nous fera découvrir la faune et la flore méditerranéenne, encore très riches en ce milieu de printemps, ainsi que les traditions crétoises comme la culture de l’olivier et la distillation du raki. Notre séjour se déroulera dans l’est de l’île et notre lieu de résidence sera le charmant village de Mochlos : quelques tavernes autour d’une crique, des volets bleus, des falaises aux couleurs flamboyantes, une île déserte, … le décor est planté. Sentiers de muletiers, chemins de terre bordés d’oliviers et gorges profondes nous guideront vers des sites insolites : villages perdus dans la montagne, visite d’un monastère, arrêt dans un « casani » (lieu où les crétois se rassemblent pour distiller le raki), pique-nique dans une ancienne bergerie. Et au détour d’une falaise vertigineuse, les vautours pourraient bien s’inviter au programme. Parce que la Crète est réputée pour l’excellence de ses produits, chaque soir nous nous retrouverons dans une taverne en bord de mer pour nous régaler de produits frais : viandes, légumes, poissons, calmars, poulpes, sans oublier le petit raki en fin de repas. JP nous a guidé et Pierre Pigeon nous a filmé :-) Merci

Voici le troisième trekking que j’organise au Maroc avec cette fois-ci une destination bien différente des deux premières éditions. Si la montagne, l’altitude, l’isolement, les berbères, les mules, les passages plus techniques étaient bien présents lors des deux premières organisations, ici c’est un tout autre décor qui se profile à l’horizon ! Cap maintenant sur l’ouest marocain et sa côte sauvage bordant l’Atlantique. Cette côte a la spécificité d’être préservée de toute route côtière, avec de longues plages de sable fin, dunes, pointes rocheuses, falaises. Essaouira est la ville la plus connue, considérée comme une des plus belles villes du Maroc, appelée aussi la « ville blanche ». Le climat de la côte atlantique à la particularité d’être assez constant toute l’année, avec des températures en mai de minimum 15 et maximum 20 degrés, c’est une moyenne. Il fait rarement plus de 22 degrés lors des mois les plus chauds ! Nous serons dans d’excellentes conditions pour randonner ainsi que pour bivouaquer, pas de chaleur suffocante. Comme mentionné dans le premier paragraphe, ce trek s’oriente vers une découverte de la côte Atlantique. D’ailleurs, nos premiers pas de randonneur se feront le long d’une belle plage de sable fin. Notre guide marocain, Omar, nous fera découvrir cet Eden sauvage aux multiples villages de pêcheurs, une flore si particulière et bien différente des montagnes de l’Atlas. Ce sera l’occasion également de partir à la découverte de l’arganier, arbre endémique du Maroc. L’huile d’argan provient de cet arbre que l’on ne rencontre qu’au Maroc. Préparée artisanalement, cette huile possède des vertus culinaires ancestrales. Mais elle est aussi utilisée par les connaisseurs pour ses exceptionnelles propriétés esthétiques : anti-rides, massage, beauté des ongles, des cheveux, etc. Le trek en lui-même est plutôt destiné à un large public de randonneurs qui aiment découvrir la nature sans pour autant accumuler les dénivellations et longues marches journalières. La plus longue journée ne devrait pas dépasser les cinq heures de marche effective. Même approche concernant la dénivellation, aucune comparaison avec les différents treks de l’Atlas. Bien entendu avec Philippe comme guide et sponsorisé par le Ramponeau pour les photos comme vous l’aurez reconnu :-)

La région de Dinant réserve bien des surprises si l’on se donne la peine de la parcourir à pied. Nous irons d’une vallée à l’autre, entre Lesse et Meuse à la rencontre des nombreuses richesses naturelles et d’un patrimoine exceptionnel. Ici et là, de nombreux châteaux se lovent au pied de la vallée de la Meuse ou sont perchés aux sommets de pics rocheux : Vêves est un imposant nid d’aigle, Noisy a des allures écossaises, Walzin défie la Lesse tandis que le noble Freyr a conservé de splendides jardins à la française avec ses orangers tricentenaires ! Mais attention : cette rando «patrimoine» est aussi très technique car ici, les dénivelés sont nombreux et les falaises offrent des à-pic de 100 m. Nous parcourrons tous ces sites, de Freyr, haut lieu de l’alpinisme en Belgique au ravin du Colebi sans oublier le Parc Naturel de Furfoof, criblé de cavernes préhistoriques, de gouffres et de chantoires. JP avait la carte en main et Jacques Lemoine l'appareil photo.

1521 - Paris autrement ! Nouveaux itinéraires inédits ! …Autrement, traverser la Ville Lumière, la vieille Lutèce en trois randonnées itinérantes, sélectionnées… Autrement, traverser les arrondissements pittoresques par de petites rues et venelles parfois très anciennes, souvent loin des boulevards et des bruits de la ville... Autrement, traverser la Seine, les canaux, les îles, les reliefs et les buttes pour admirer de beaux points de vue sur la capitale… Autrement, traverser les siècles, les places historiques, les villages d’antan, les faubourgs, les quartiers charmants et variés pour mieux les comprendre… Autrement, traverser les bois, les squares, les grands et les moins grands Jardins et somptueux Parcs de Paris d’architectures si classiques, si haussmanniennes ou si contemporaines… Autrement, traverser différents quartiers périphériques de Paris avec d’autres itinéraires inédits pour de belles nouvelles découvertes… Autrement, traverser l’histoire et la romance, découvrir les décors secrets, discrets, les façades sobres, colorées, ordinaires ou glorieuses des lieux inconnus, insolites ou illustres… Autrement, traverser le quotidien des parigots, humer l’atmosphère, se laisser surprendre et s’émouvoir quand nos regards s’évaderont au hasard de nos errances citadines… Autrement, je ne vous le proposerais pas. Merci à Béa d'avoir proposé et à Bernadette d'avoir immortalisé :-)

Classée « grand site national », la baie de Wissant a échappé aux périls de l’urbanisation sauvage qui a dénaturé tant de paysages côtiers. Cette longue plage de sable fin est protégée par les sentinelles du Blanc Nez et du Gris Nez. Ces deux caps d’une hauteur de 134 m symbolisent la ligne de partage géographique entre la Manche et la Mer du Nord. En face, on aperçoit les côtes anglaises qui ne sont qu’à une trentaine de km. A moins d’une heure de la côte belge et de ses digues « bétonnées », cette région vous surprendra par son côté sauvage et nostalgique. Ici, les champs plongent dans la mer et les vaches se promènent au bord des falaises. De Wimereux au Cap Gris Nez, les sentiers dominent la mer, serpentent à travers dunes et oyats, défilent au bord des vagues ou se faufilent entre marais et prairies. Tout comme les paysages, les lumières changent très vite et il n’est pas rare de vivre les quatre saisons en un week-end. Nostalgie aussi car ces villages ont conservé leur charme d’antan. Témoins, ces maisons de pêcheurs à Audresselle et Ambleteuse ou ces magnifiques villas de la « Belle Epoque » à Wimereux. Vitrine de l’architecture balnéaire, plus de 300 villas y sont classées. Comme vous connaissez ma passion pour les oiseaux, ce week-end sera aussi l’occasion de vous initier à l’ornithologie. Car le Cap Gris Nez est un observatoire de renommée européenne et on peut y observer les grandes migrations d’oiseaux. Un plein d’iode au coeur d’un patrimoine exceptionnel. Avec en plus, le confort hôtelier à Wissant. Quoi de plus charmant après l’hiver ! Devinez ! Véronique Chenut à la carte et JP aux photos ? ou l'inverse ? :-)

Voici un trek hivernal inédit dans une ambiance de haute montagne. 6 jours de raid en raquettes dans un des plus beaux massifs pour la pratique du ski de randonnée ! Le ski de randonnée sera remplacé par de la raquette, pour le reste tout est identique ! Une fois n’est pas coutume de proposer un tel séjour, mais la montagne engagée est si attrayante qu’il faut aller jusqu’au bout de ses rêves, c’est-à-dire les vivre ! Le massif des Cerces, la Clarée se situent déjà dans les Alpes du sud, là où le soleil brille 300 jours par an, où l’enneigement est abondant audelà de 2 000 mètres. Névache (1600 m), joli petit village montagnard à l’église atypique sera notre point de départ pour ce raid qui empruntera plusieurs vallées dont la vallée Etroite. Cette vallée annexée à la France après la seconde guerre mondiale est tout aussi atypique. Elle se situe côté français mais tout rappelle l’Italie ! On y parle italien, on y mange italien et les numéros de téléphones ont un préfixe italien. Plusieurs cols d’altitude sont au programme de ces six jours, certains sont juste sous la barre des 3 000 mètres, et ce, dans un environnement totalement isolé. Aucune station de ski, pas de remontées mécaniques dans ce massif enclavé entre les Ecrins et la Haute Maurienne. Oui, comme mentionné au premier paragraphe, la « Mecque » du ski de randonnée et de la raquette à neige. Nous rencontrerons des refuges à l’architecture en bois, synonyme de charme et convivialité. Ici, c’est la montagne authentique, accueillante, où se poser au coin du feu après une longue journée en montagne devient un moment inoubliable ! Promis, pour le plus chaleureux, nous y resterons deux nuits. Feu de bois et salon de lecture à notre disposition, ainsi qu’une succulente cuisine avec des produits exclusivement locaux et bio ! Sécurité oblige, nous évoluerons avec un ARVA ou DVA (détecteur de victimes d’avalanches), obligatoire dans l’environnement dans lequel nous progresserons chaque jour. De ce fait, vous recevrez des informations (support papier) ainsi que différents exercices seront réalisés sur le terrain, afin de vous familiariser avec cet outil sécuritaire obligatoire. L’ensemble, pelle – DVA et sonde seront loués pour la semaine (+/- 50 euros). Ce raid est avant tout destiné aux randonneurs aguerris ayant déjà quelques expériences en montagne. Une bonne endurance, une capacité mentale permettant de surmonter des journées fatigantes en cas de mauvais temps, sont les deux principaux atouts pour bien réussir ce trek hivernal. Philippe à la carte et Jean-Claude Berlage aux photos :-)

Ca devient un classique, la station du Rouge Gazon pour la pratique de la randonnée, aussi bien estivale qu’hivernale. Mais l’endroit se prête à merveille à la découverte des Vosges du sud, des Ballons Comtois. Le Rouge Gazon est une haute Chaume mais aussi un établissement réputé pour l’accueil des randonneurs. Le confort et les repas en font une bonne base pour ce nouveau périple hivernal. Les ballons Comtois, Vosges du sud, seront les hôtes de ce long weekend hivernal. Nos différentes journées débuteront depuis cette chaume du Rouge Gazon. Nous partirons à la découverte de beaux paysages sauvages, isolés, tantôt en forêt, tantôt dans des Chaumes ouvertes ; quelques lacs d’origine glaciaire feront aussi partie de nos escapades quotidiennes. Par beau temps la vue nous offre des paysages exceptionnels. Les Alpes bernoises et le Mont-Blanc sont mêmes bien visibles depuis la crête située juste au-dessus de notre Chaume. Ce splendide panorama a été plusieurs fois observé lors de précédents séjours. Pour les randonneurs hésitants à la pratique de la raquette à neige, je tiens à les rassurer par le fait qu’il n’y a aucune difficulté technique à progresser avec ces étranges « gouttes d’eau » aux pieds ! Toute personne sachant randonner est apte à la pratique de cet exercice. La difficulté se situe lors de l’orientation des parcours, et surtout, lorsqu’il faut tracer le cheminement dans une neige haute et poudreuse. Ici, pas d’inquiétude, votre guide se chargera de ce travail à votre place. Par contre, oui, un minimum d’équipement est nécessaire afin d’évoluer dans de bonnes conditions comme : de bonnes chaussures imperméables, de bons gants et une veste chaude et imperméable. Pour le reste, c’est une belle évasion sur ce manteau neigeux avant de rejoindre le confort du soir dans une ambiance chaleureuse ! Avec Philippe aux raquettes et Bernadette Preudhomme à la caméra :-)

Après les excès des réveillons, il est grand temps de retrouver la forme. Aussi je vous propose une randonnée sportive. Si les dénivelés n’ont rien à voir avec ceux que l’on rencontre en montagne, la succession de ceux-ci vous donnera un avant-goût de l’effort qui vous attend lors d’une rando en altitude. Cette journée sera d’ailleurs un excellent entraînement : l’an dernier, un randonneur a calculé 900 m de dénivelé positif et 900 m de dénivelé négatif. Lovée dans un écrin de verdure, la ville de La Roche-en-Ardenne jouit d’une situation idéale pour aller vers tous les « sommets » qui l’entourent. Notre point de départ sera le village de Cielle. Ensuite, nous descendrons vers la vallée de l’Ourthe aux environs de Marcourt puis ensuite remonter vers Hodister et l’Ermitage de St-Thibaut. Classés depuis 1973, la chapelle (1639) et l’Ermitage (XVIII è siècle) offrent une vue splendide sur l’Ourthe et les villages environnants. Ensuite, retour vers La Roche via la nouvelle vallée des castors et la Croix de Beausaint (40 cm de neige en janvier 2016 – c’était magique !) dernier « sommet » de la journée d’où vous pourrez jeter un dernier regard vers tout le chemin parcouru avant d’apprécier une bière bien méritée dans un chaleureux chalet en bois ! Pour ceux qui le désirent, il sera possible de souper sur place à la carte. Merci JP pour la rando et merci Jacques Lemoine & Joan-Pere Puig pour les photos.

Oui, en hiver notre petit pays présente un caractère alpin en certains endroits, profitons-en pendant 2 jours à Ovifat, en Hautes Fagnes ! La région reste indéniablement un des joyaux naturels les plus précieux du pays, elle devient « Parc Naturel des Hautes Fagnes - Eifel » en 1984. Aujourd’hui, outre le statut de Réserve Naturelle Domaniale, les Hautes Fagnes sont aussi protégées par le biais des sites «Ramsart» et «Natura 2000». Ces divers statuts et cadres juridiques sont le garant du maintien d’une merveilleuse diversité biologique. Mais ce qui reste sans nul doute sa plus grande particularité, c’est son climat : 230 jours de précipitations (pluie, neige, brouillard), 178 jours de brouillard par an… Les statistiques du climat fagnard sont riches en extrêmes, avec en moyenne 113 jours accompagnés de gelées et 78 jours de couverture neigeuse par an. L’hiver prend parfois des allures sibériennes avec des températures nocturnes de 20 ° sous zéro ! Sortie de préparation à la montagne hivernale. Sortons nos raquettes si la neige est au rendez-vous ! Avec Nathalie à la carte et Bernadette Preudhomme à l'appareil photo !

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