Entre
Geer et Meuse en bottines et à bicyclette
Un mélange réussi entre la marche et la promenade en vélo,
dans des
paysages bucoliques.
... avec Béatrice.
Pour
une fête nationale, originale à notre façon,
nous varierons nos positions
!
Nous roulerons en Wallonie, en Flandre et en Hollande sur des sentiers
de terre et des chemins de halage puis nous sauterons quelques fois du
vélo pour gambader dans les pelouses, les bois, les réserves
naturelles et la «Montagne Saint Pierre» :
le grand jardin de Maastricht ! Vous lisez ?
:
De «Petit Lourdes» à Bassenge, nous pédalerons
dans la campagne vers la Tour apocalyptique d’Eben-Ezer et le Fort,
fort
vieux, d’Eben-Emael. Vous vous effrayez ?
Non, pas encore ! Par la «Via Jecore» toujours à vélo,
nous atteindrons le confluent du Geer et du Canal Albert à Kanne,
l’ancien «village blanc».
Là, nous arpenterons à pied les vallées érodées
et leurs coteaux boisés remplis de grottes, cavernes, carrières
et crayères. Un
décor enchanteur : le Cannerbos, le château de Neercanne,
le plateau de Caster et la fameuse Montagne Saint Pierre… Non,
sans blague, sur ce plateau calcaire règne une atmosphère
méridionale étonnante qui attire une faune et une flore particulières
: une vraie Réserve naturelle protégée et si bien
entretenue par de nombreuses associations, dont Natagora.Vous me
comprenez
?
Ensuite, nous reprendrons les pédales sur le Ravel 1 vers la grande écluse
de Lanaye et le beau village hollandais d’Eijsden,
de l’autre côté de la Meuse. Vous y nagerez
?
Et enfin après une dernière ballade entre prairies, saussaies
et étangs, le long des berges naturelles de la Meuse habitées
encore par tant d’oiseaux, nous rentrerons à bicyclette
par la très belle vallée du Geer. Vous me suivrez
?
Les dictons nous disent entre autre
:
«
En juillet, mois d’abondance, le pauvre a toujours sa pitance.»
«
Juillet ensoleillé, rempli cave et grenier.»
« Juillet sans orage, famine au village.» .
Et «Pluie du matin, en juillet, est bonne au vin.»
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